"... C'est la force du hasard, l'enchainement implacable des circonstances. Il suffit d'un rien, que notre nom soit cité ou que l'on nous soupçonne d'avoir été présent à tel endroit, tel jour à telle heure pour que la machine judiciaire s'emballe et qu'elle vous broie...
Même si la peine de mort en France n'existe plus. On meurt aussi de désespoir. On meurt aussi de honte..."
Daniel Massé fera une tentative d'autolyse qui le conduira trois jours à l'hôpital les 10, 11 et 12 septembre 1995.
"... C'est la force du hasard, l'enchainement implacable des circonstances. Il suffit d'un rien, que notre nom soit cité ou que l'on nous soupçonne d'avoir été présent à tel endroit, tel jour à telle heure pour que la machine judiciaire s'emballe et qu'elle vous broie...
Même si la peine de mort en France n'existe plus. On meurt aussi de désespoir. On meurt aussi de honte..."
Daniel Massé fera une tentative d'autolyse qui le conduira trois jours à l'hôpital les 10, 11 et 12 septembre 1995.
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