Daniel Massé, incarcéré au centre de détention de Muret depuis 2003, a tenté de se suicider par absorption de médicaments, dans le courant de la semaine dernière. Il serait actuellement soigné à l'hôpital Marchant. Depuis trois ans et sa condamnation par la cour d'assises d'appel pour tentative d'assassinat, Daniel Massé n'a cessé de clamer son innocence. Il jure ne pas être la personne qui a confectionné et adressé ce colis piégé qui avait défiguré les époux Hernandez le 16 décembre 1994, avec qui il entretenait un différend de 15 000 euros. D'abord acquitté en première instance, il avait finalement été condamné à 25 ans de réclusion criminelle après appel du parquet. «Cet appel d'une décision d'acquittement est un véritable guet-apens judiciaire», s'insurge encore aujourd'hui l'avocat de Daniel Massé, Me Jean-Luc Forget.
Merci pour cet acticle digne de la rubrique "chiens écrasés" mais je me répète : Cette affaire doit être dévoloppée en pleine page de la rubrique "erreurs judiciaires" ou plutôt "déni de justice", le statut de victime est réconfortant mais n'apporte rien de consistant, ni sur le plan juridique, ni sur le fond du problème : La teneur du dossier prouve à elle seule le caractère inéluctable de la condamnation d'un innocent.
Daniel Massé, incarcéré au centre de détention de Muret depuis 2003, a tenté de se suicider par absorption de médicaments, dans le courant de la semaine dernière. Il serait actuellement soigné à l'hôpital Marchant. Depuis trois ans et sa condamnation par la cour d'assises d'appel pour tentative d'assassinat, Daniel Massé n'a cessé de clamer son innocence. Il jure ne pas être la personne qui a confectionné et adressé ce colis piégé qui avait défiguré les époux Hernandez le 16 décembre 1994, avec qui il entretenait un différend de 15 000 euros. D'abord acquitté en première instance, il avait finalement été condamné à 25 ans de réclusion criminelle après appel du parquet. «Cet appel d'une décision d'acquittement est un véritable guet-apens judiciaire», s'insurge encore aujourd'hui l'avocat de Daniel Massé, Me Jean-Luc Forget.
Merci pour cet acticle digne de la rubrique "chiens écrasés" mais je me répète : Cette affaire doit être dévoloppée en pleine page de la rubrique "erreurs judiciaires" ou plutôt "déni de justice", le statut de victime est réconfortant mais n'apporte rien de consistant, ni sur le plan juridique, ni sur le fond du problème : La teneur du dossier prouve à elle seule le caractère inéluctable de la condamnation d'un innocent.
15000 euros, erreur ou mensonge, n'est pas exact. La ressource de l'article étant ce site j'y ai précisé un différent de 15000 FRANCS, pour ne pas être mis en défaut je préciserais le montant exact après l'avoir demandé à mon père.