de Me FORGET
Rien ne me déplaît dans vos initiatives. Je les comprends toutes. Je cherche simplement à savoir si je peux y avoir encore une place.
Laurent de CAUNES Avocat à la Cour
Jean-Luc FORGET Avocat à la Cour Anden Bâtonnier
SOCIETE CIVILE PROFESSIONNELLE D'AVOCATS
En collaboration: Emmanuelle CASELLAS David LEGRAIN Pascaline LESCOURET Vincent PARERA
TOULOUSE, le 3 juillet 2006
Nos réf. : 990233 (257/1999) JLF/INB MASSEIMP
Cher Monsieur,
Je réponds à votre correspondance datée du 18 juin dernier pour constater déjà que vous ne répondez pas clairement aux questions que je vous pose.
Si pour toute réponse vous identifiez un mot, le sortez de son contexte et y appliquez d'autres réalités, nous ne pouvons plus communiquer utilement.
Je persiste donc malheureusement à penser que désormais nos correspondances ne sont guère utiles.
Je ne me justifierai pas du passé. C'est peut-être parce qu'il est - et je le comprends - trop présent et que je le représente trop que nous n'arrivons plus à échanger utilement.
Rien ne me déplaît dans vos initiatives. Je les comprends toutes. Je cherche simplement à savoir si je peux y avoir encore une place.
Si vous souhaitez que je vous aide, si les personnes qui vous aiment et qui vous soutiennent peuvent me faire confiance, je crois encore pouvoir travailler utilement pour combattre l'erreur judiciaire dont je suis convaincu.
A défaut, je ne peux plus vous être utile. Ici, seul ce mot "utilité" revêt quelque l'importance.
Veuillez agréer, Cher Monsieur, l'expression de mes sentiments dévoués.
20 rue du Languedoc - 31000 TOULOUSE
Téléphone: 05.61.52.08.52 - Télécopie: 05.61.53.19.60 - email: scp-decaunes-forget@avocatline.com.fr (Case n° 061)
Jean-Luc FORGET Avocat à la Cour Anden Bâtonnier
SOCIETE CIVILE PROFESSIONNELLE D'AVOCATS
En collaboration: Emmanuelle CASELLAS David LEGRAIN Pascaline LESCOURET Vincent PARERA
TOULOUSE, le 3 juillet 2006
Nos réf. : 990233 (257/1999) JLF/INB MASSEIMP
Cher Monsieur,
Je réponds à votre correspondance datée du 18 juin dernier pour constater déjà que vous ne répondez pas clairement aux questions que je vous pose.
Si pour toute réponse vous identifiez un mot, le sortez de son contexte et y appliquez d'autres réalités, nous ne pouvons plus communiquer utilement.
Je persiste donc malheureusement à penser que désormais nos correspondances ne sont guère utiles.
Je ne me justifierai pas du passé. C'est peut-être parce qu'il est - et je le comprends - trop présent et que je le représente trop que nous n'arrivons plus à échanger utilement.
Rien ne me déplaît dans vos initiatives. Je les comprends toutes. Je cherche simplement à savoir si je peux y avoir encore une place.
Si vous souhaitez que je vous aide, si les personnes qui vous aiment et qui vous soutiennent peuvent me faire confiance, je crois encore pouvoir travailler utilement pour combattre l'erreur judiciaire dont je suis convaincu.
A défaut, je ne peux plus vous être utile. Ici, seul ce mot "utilité" revêt quelque l'importance.
Veuillez agréer, Cher Monsieur, l'expression de mes sentiments dévoués.
20 rue du Languedoc - 31000 TOULOUSE
Téléphone: 05.61.52.08.52 - Télécopie: 05.61.53.19.60 - email: scp-decaunes-forget@avocatline.com.fr (Case n° 061)
03 July 2006 5937 lu
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