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Dénonciation du COUPABLE

Je vous avais écrit il y a quelques temps, que dans un courrier plus explicite je dénoncerai X. qui pour moi est le coupable direct ou indirect du colis piégé, ce qui est ma profonde conviction. Je pense qu'il est temps..., vraiment il est temps.


Daniel Massé - C.D. de Muret
B.P.312 - Route de Seysses
31605 Muret
http://www.presume-coupable.com
A l'attention de la presse

Muret le 16-10-2006

Mesdames, Messieurs,


Je vous avais écrit il y a quelques temps, que dans un courrier plus explicite je dénoncerais Monsieur Terrier qui pour moi est le coupable direct ou indirect du colis piégé, ce qui est ma profonde conviction. Je pense qu'il est temps..., vraiment il est temps.

Je m'efforcerais de ne pas l'assortir de qualificatifs comme : théâtral, cynique, prétentieux, mythomane, égocentrique, esclavagiste, sournois. Comme me l'a dévoilé son attitude au procès, et l'enquête de voisinage que j'ai obtenu. J'ai déduis que ce qui l'a disculpé, c'est que sa fille se trouvait sur les lieux de l'attentat, et ce par pur hasard, que cela était inhabituel comme il le fut dit au procès, aussi que je pouvais rapidement porter l'habit du coupable que l'on m'a ajusté.

Ce monsieur Terrier était un simple spectateur lors du procès de mon acquittement pour devenir témoin à charge par la suite. Il dit que, dès le premier jour de l'enquête il a vu ma signature dans les débris de bois du colis. N'est-il pas capable lui même d'acheter du bois à la découpe pour construire une telle caissette? Surtout après avoir dit à la barre qu'il n'y avait que deux personnes dans la salle capable de concevoir un tel colis. « Lui-même et Massé »

Qu'il parle pour lui s'il veut, lui qui est ingénieur, a travaillé dans les phosphates et a approché des explosifs, contrairement à moi. Cet homme s'intéressait à l'entreprise créée par son gendre, car déjà il apparaissait comme son dirigeant d'après la lecture d'un quotidien en fin 92 ou début 93, comme s'il s'occupait d'un bébé qui n'était pas le sien. Déjà il mentait à la presse affirmant qu'ils avaient des marchés au Cambodge, au Vietnam, au Maroc et en Corse, que des contrats étaient signés, ce qui était déjà un gros mensonge à la limite de la mythomanie, Puisque l'avenir et l'enquête ont démontré qu'il n'en était rien.

Au dernier procès il me montra du doigt à trois reprises en m'accusant, faisant de son témoignage une mini-­plaidoirie. Il se faisait passer pour une victime potentielle car ce matin là il avait faillit s'arrêter sur les lieux à 7h30, mais avait préféré aller livrer un appareil non loin de là. Que c'était par pur hasard qu'il se soit trouvé là une quinzaine de minutes plus tard ce jour là !?

Cet homme pouvait et devait savoir que les deux employées arrivaient plus tard mais pas que sa fille serait là exceptionnellement à 7h30, à l'heure ou son mari embauchait. C'est ce qui fut établit lors des audiences à la suite du témoignage de ce monsieur, de sa fille et de son gendre. Quant à moi, comment pouvais-je connaître ces détails, pour n'avoir eu qu'un bref entretien avec le gendre 10 mois plus tôt et ne les voyant plus beaucoup depuis 1992, soit deux ans avant les faits.

Qui plus est, je ne savais absolument pas où se situait leur local, dans lequel ils avaient migrés en Octobre 1994, alors que je ne les voyais plus.

Sa fille embauchait en effet habituellement en toute fin de matinée.

Il aura dit bien connaître le mini-rupteur utilisé dans le colis pour le connaître depuis 35 ans alors qu'il travaillait dans les phosphates en Afrique du nord, pourtant la partie civile et l'Avocat Général ont qualifié ce produit de peu courant et spécifique.

Monsieur Terrier a fait témoigner une dizaine de personnes au cours de l'enquête de la P.J, personnes qu'il avait côtoyées quand il s'occupait de Médilens en l'absence de son gendre. Etait-il convaincu d'avoir ces témoins dans la poche au point de les inciter à dire que j'étais «un violent ». Pourtant ces témoins n'ont rien dit de mal ou de fâcheux sur moi, il ne pouvait en être autrement.

Mon second procès (renvoyé) à d'ailleurs clairement fait apparaître ses manoeuvres d'influences.

C'est encore lui qui a fait dire par l'avocat Général que j'ai fait mettre le nom d'une société (comptoir secteur 05) sur la facture d'un mini-rupteur que j'avais acheté pour démontrer à mon avocat que ce matériel se vendait aux particuliers, sur stock et qu'il était classique et d'usage courant. Il savait le non-fondé de ses propos pour avoir lui même été dans cette société qui les distribue, pour en acquérir deux lors de son enquête à charge, afin d'alimenter des allégations à charge à mon encontre. En fait (comptoir secteur 05) signifie: que ce matériel fut servi au comptoir du secteur 5 correspondant à une zone géographique de distribution, soit une portion de camembert autour de Toulouse.

Ce monsieur Terrier jouait déjà de son illégitime autorité pour les embauches et licenciements de l'année 1992, ce fut le cas avec monsieur Gardiola, témoin au premier procès, mais que la cour a voulu absent au dernier procès.

Il aura signalé aux enquêteurs une machine équipée de mini-rupteurs comme dans le colis, en indiquant qu'elle venait de chez « Massé » alors qu'après enquête, il s'est avéré qu'elle venait d'une société : « CibaVision ».

Après ma libération en 1995, les époux Hernandez ont porté plainte contre moi pour des appels téléphoniques anonymes à répétition sans que personne ne soit au bout du fil. Il s'est avéré que c'était l'alarme de leur société qui appelait d'elle même par défaut, sans que monsieur Terrier dise à sa fille ou son à gendre que cela pouvait venir de l'alarme alors qu'il était ingénieur en électronique.

Il a aussi cherché (et en partie réussi) à influencer les témoins dans la salle qui leur était consacrée. Il se félicitait d'étudier la nature humaine, le béhaviorisme.

Il confia à la presse qu'il conseillait à son gendre et sa fille de regarder sous leur voiture chaque matin, au cas où il y aurait une bombe afin de cultiver une paranoïa à mon encontre. Ce fut écrit dans «La Dépêche du midi» du 5 octobre 1995, une quinzaine de jours après l'arrêt de ma détention provisoire.

Cela ne relève-t-il pas légèrement de la mythomanie ?

Tout comme il aura dit à cette même presse quelques jours après l'accident « Nous nous sentions tous menacés » Sans dire pourquoi, comment, par qui, ni depuis quand, puisque que ce n'était qu'un comérage de plus pour nourrir l'opinion.

Par ailleurs instigateur du faux témoin Monsieur Alcubilla, qui écrira au Juge d'instruction que je lui avais dit vouloir faire sauter Monsieur Roméra (directeur d'usine), lui expliquant le processus. Il ne confirma pas ses propos et dira au tribunal que c'est suite à la demande de Monsieur Terrier qu'il avait écrit cette lettre. Monsieur Alcubilla fut embauché par Monsieur Terrier au cours de cette même période.

Après ma libération en 1995, la psychose cultivée à mon encontre a perduré avec des explosions (symboliques ?) de plusieurs cabines téléphoniques :

La première cabine téléphonique a explosé « place aux cochons » à Toulouse la nuit même où je suis sorti de détention provisoire en septembre 1995, ce monsieur habite « rue Bourbaki » à quelques mètres de là !! Une autre a explosé près du Lycée St Joseph ou j'étais scolarisé, une troisième place de la Liberté, non loin de mon domicile, puis une quatrième je ne sais où.

Sur ces explosions, je m'interroge beaucoup.

Je dois oublier quelques détails, mais ce qui est dit est essentiel.

L'attaque est la meilleure défense, je ne le pensais pas aussi opportun pour une enquête et un procès. C'est pourtant bien ce que Monsieur Terrier a fait contre moi, car cet homme l'avait bien compris.

Dans cette affaire on ne s'est pas posé la question : À qui aurait pu profiter le crime ? C'est fâcheux.

Voilà ce que j'ai pu retenir. Je vous avoue que cet homme me paraissait très étrange, et c'est d'ailleurs la réflexion qu'avait fait devant moi un inspecteur de la gendarmerie en décembre 1994. C'est aussi ce qu'a révélé son voisinage. Mon intime conviction : Monsieur Terrier est le coupable, de cet attentat. Lui ou quelqu'un pour lui a fabriqué et livré ce colis piégé pendant que moi, je regardais la télé en dessinant les plans de ma péniche. Je me suis couché avec ma femme, pour me lever à 6h30 du matin comme mes trois enfants, ce qui a été confirmé. Et plus encore, je n'ai jamais approché ou utilisé de ma vie un quelconque explosif.


Veuillez agréer madame, monsieur, mes salutations les meilleures.
Daniel Massé

16 October 2006 1039 lu 0 commentaire Imprimer

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